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mercredi, mars 17 2010

COMMENT BIEN REUSSIR SON ADOLESCENCE 2

Votre petit frère ou votre petite sœur vous énerve, je sais, j'ai eu la même chose mais je ne les ai pas tué. Quand ils vous embètent, vous ripostez mais cela leurs fait plaisir alors, arrêtez et oubliez tout pendant 5 minutes en restant dans votre coin et tout ira bien.

Pareil pour les parents s'ils vous énervent, faites comme si vous écoutez et quand ils ont fini, partez dans votre chambre, calmez vous et revenez.

Tiffani Onnis

mardi, mars 16 2010

COMMENT BIEN REUSSIR SON ADOLESCENCE 1

Au fil de ma vie, j'ai reconnu que les parents servent et pas qu'un peu. Certes, ils sont parfois un peu comme un fardeau mais sans eux on ne serait pas là.

Il est bien plus simple d'être un ado pénible et stupide mais dans ces cas la, mieux vaut rester dans un coin sur l'ordi, le portable, la télé et gâcher sa vie mais pas se fatiguer.

Eh bien non ! Pour faire ce que tu voudras dans la vie, il faut travailler dur parfois mais jamais céder.

Tiffani Onnis

NOUVEAUTE

Cette semaine je laisse ma place à ma fille de 13 ans (bientôt 14) qui se sentait l'envie d'écrire.. Un peu de retard dans la publication ...mais l'attente en valait la peine !

Sandrine Onnis

lundi, mars 15 2010

L'OBEISSANCE

L'obéissance est le fait d'accepter de faire des choses que l'on n'a pas décidé soi-même.

Nécessaire et même vitale sous peine d'anarchie, pour maintenir une certaine harmonie dans nos société, l'obéissance ne doit pas pour autant être aveugle.

Elle peut être réfléchie car obéir, c'est bien, désobéir, c'est mal n'est pas toujours vrai !

Si l'interdit provoque souvent l'intérêt, la verbalisation permet une vrai prise de conscience de l'acte et une désobéissance en connaissance de cause. La désobéissance ne sera plus bravade de l'interdit mais bien prise de position contre une demande contraire à notre intime conviction, à nos valeurs fondamentales.

N'oublions pas que l'obéissance passive fait le succès des oppresseurs !

Sandrine Onnis

samedi, mars 13 2010

NOUS

Qui nous définit, nos actions ou nos possessions ?

vendredi, mars 12 2010

LE COUPLE

Certains définissent le couple comme la somme de deux névroses qui se répondent ayant trouvées un équilibre dans les failles de chacun.

Le couple peut-il guérir les blessures de l'enfance ? L'amour possède-t-il autant de puissance ?

Je n'en suis pas sûre car le couple est plus que la somme de deux névroses.

Le début d'une relation peut certainement se contenter de cela mais la suite devra tendre à la faculté de réinventer chaque jour la relation pour maintenir l'équilibre. L'évolution de l'un doit créer une dynamique dont l'autre va aussi profiter sans jamais donner lieu à des injonctions qui ne relèvent pas d'un choix personnel.

Définir le couple permet-il de le faire perdurer ?

Sandrine Onnis

jeudi, mars 11 2010

Se juger ?

Chercher à se juger en permanence est-ce une perte de temps ?

Peut-être un début de réponse.....

Accepter de ne pas savoir une grande partie de ce qui se joue en nous permet d'avoir un avenir toujours ouvert.....

JUGER

Donner son avis sur une question ....

Il peut être bénéfique s'il est constructif ou toxique s'il est destructeur.

Juger nous permet d'appréhender le monde qui nous entoure, d'en discuter et ainsi d'échanger. Mais il est parfois difficile de ne pas être médisant ou de ne pas condamner , la frontière est souvent très mince et le désir de se sentir supérieur impérieux !

Juger en prenant conscience qu'il ne s'agit que de son propre ressenti subjectif à l'instant "T" , sans oublier la complexité de la conduite humaine qui est souvent contradictoire et sans être trop catégorique sont des choses à garder en mémoire car juger est aussi un devoir que l'on a quand on vie en société. Juger permet alors aux pires des criminels de purger leurs peines et ainsi de s'amender.

On peut juger en restant humble et en acceptant l'évolution émotionnelle de nos pensées.

Sandrine Onnis

mercredi, mars 10 2010

Réconcilliation ?

Un accueil sans discrimination réconcilie-t-il avec l'existence ?

LE MELANGE ?

Peut-être ce que l'on ressent à la quarantaine, on entre dans la catégorie des gens posés, bien installés dans la vie, on commence à avoir quelques cheveux blancs mais en même temps, on garde toujours son âme d'enfant et le plus petit prétexte nous suffit pour redevenir de vrais enfants, blagueurs, insolents, légers.....

Tout en étant conscient de notre âge et de nos responsabilités, on fait parfois le choix de l'insouciance. Sans s'abîmer dans la fugacité, il faut savoir se fabriquer un équilibre qui pour moi est un mélange entre des attitudes d'adultes et d'autres plus enfantines.

Sandrine Onnis

mardi, mars 9 2010

DONNER

DONNER

Traditionnellement, c'est apporter du concret comme un bien ou quelque chose d'immatériel comme un soutien moral.

Pourtant, prendre conscience de donner pour partager , sans attendre de retour permet d'être vrai dans sa démarche.

Donner pour créer du lien, pour être connecté sans arrière pensée...

Donner est pour moi plus facile que de recevoir car c'est accepter d'exister dans le regard de l'autre avec la peur de ce que l'on va y découvrir ou de ce que l'on va ressentir.

Mais prendre conscience de sa fragilité, de sa vulnérabilité permet de se voir tel que l'on est et d'accepter d'être aidé tout en étant content de recevoir un certain soutien.

Donner ou recevoir sont-ils si différents ou intimement liés ?

Sandrine Onnis

La compétition ?

La compétition permet-elle de se faire une place ?

lundi, mars 8 2010

MERCI

Si pour certaines personnes, il ne s'agit que d'une simple formule de politesse, moi je pense que l'on peut ressentir d'agréables sensations en prononçant ce simple mot, en exprimant sa gratitude.

Si ce terme semble très prisé par les adeptes de la positive attitude, c'est peut-être parce qu'il offre une promesse d'épanouissement et de paix.

Donner après avoir reçu nous aide à prendre conscience que l'on a besoin des autres pour exister. Encore faut-il ne pas être centré sur soi-même et accorder de l'attention aux personnes qui nous entourent .

Attendre un merci en retour n'est pas bon non plus me semble-t-il car s'il ne vient pas, il sera source d'amertume.

Dire merci simplement permet d'exprimer sa gratitude sans créer de lien pyramidale.

Sandrine Onnis

S'HUMANISER ?

Peut-on "s'humaniser" à travers le regard d'autrui ?

vendredi, mars 5 2010

L'INACTIVITE

Le fait de ne rien faire .

Notre société nous laisse peu de temps semble-t-il pour nous poser et rêvasser et pourtant , en y regardant de plus près, beaucoup de choses peuvent attendre et rien de grave n'arrivera si elles ne sont pas faites !

Arrêter de courir de temps en temps permet de se ressourcer, de réfléchir et parfois de se recentrer sur l'essentiel. On ne peut échapper à certaines obligations ou contraintes , mais à s'agiter sans cesse, on risque de passer à côté de la maitrise de sa vie, de la connaissance de soi.

Je ne fais pas ici le nid de l'inactivité ni ne l'élève en principe de vie car c'est prendre le risque de se couper du monde mais ne rien faire assez régulièrement me semble très important pour acquérir un certain équilibre émotionnel.

Sandrine Onnis

jeudi, mars 4 2010

L'APOCOPE

Un mot plus facile à définir pour aujourd'hui, l'esprit étant trop mélancolique pour aborder des notions plus délicates.

Il s'agit d'un mot qui désigne une abréviation comme par exemple, aller chez son psy où au ciné.

Certains férus de sémantique regrettent leur utilisation de plus en plus fréquente dans notre société. S'agit-il vraiment d'un appauvrissement de notre langage ou peut-être d'un certain "jeunisme" à la mode ?

Le problème vient peut-être du fait que l'on ne prend plus le temps d'adapter notre façon de parler à la personne à qui l'on s'adresse, ou à la situation et nous perdons ainsi l'usage des mots qui définissent clairement notre pensée.

Mais sommes nous vraiment obligés de briller par notre culture 24h/24 et 7j/7 ?

Une petite pause est parfois bien salutaire.

Sandrine Onnis

Nostalgie ?

La nostalgie ronge-t-elle l'esprit ?

mercredi, mars 3 2010

LE MALHEUR

S'il s'agit de toutes les choses qui ne nous plaisent pas, de tout ce que l'on aimerait avoir et que l'on n'a pas ( et qu'il est fort peu probable que l'on obtienne un jour ! ), de toutes les personnes qui nous font du mal, alors oui, on peut dire qu'il existe et qu'il est tout autour de nous.

Mais le malheur est-ce vraiment cela ?

Que penser de ceux qui ont faim ou soif, qui n'ont pas de quoi se vêtir ou un endroit pour dormir , N'est-ce pas plutôt cela le vrai malheur or bien peu d'entre nous sont vraiment confrontés à ces problèmes et pourtant le nombre de personnes se disant malheureuses est bien plus élevé !

Le problème ne vient-il pas du fait que l'on a plus de mal à se rendre compte des moments ou l'on est heureux que de ceux qui nous rendent malheureux ?

Je pense qu'il est effectivement plus facile de définir le malheur par des négations que le bonheur qui n'a que très rarement une dimension concrète !

Sandrine Onnis

mardi, mars 2 2010

L'ECOUTE

Ce n'est pas seulement entendre des sons et les mettre bout à bout, c'est surtout essayer de décoder, de donner un sens aux mots qui sont dit mais surtout à ceux qui ne franchissent pas la barrière.

Écouter c'est être sûr d'avoir bien compris le sens du message sans l'interpréter ou le manipuler.

Écouter c'est maintenir la communication alors qu'entendre crée bien peu de lien et donne lieu à des réactions souvent épidermiques.

Écouter est un exercice difficile car il demande une grande neutralité or nos sentiments et nos émotions bien cachés au plus profond de nous sont toujours prêts à s'exprimer.

J'aimerai pouvoir écouter en appliquant tous ces principes et peut-être ainsi aider les personnes qui m'entourent mais la route semble bien longue pour parvenir au décodage et à la maîtrise de nos émotions s'il s'agit vraiment de la bonne solution !

Sandrine Onnis

lundi, mars 1 2010

LE BON SENS

Peut-être serait-il bon de revenir à des choses simples et de se faire confiance pour retrouver le chemin du bon sens.

Des milliers de parents ont élevé des enfants avant nous et notre société s'est développée, a progressé sans que tout soit parfait mais globalement pour le bien de tous.

En recherchant systématiquement le pourquoi du comment, nos repères se sont brouillés, nos appuis sont devenus chancelants et le doute s'est emparé de nous au point de ne plus avoir confiance dans nos capacités intrinsèques !

Si l'on ne peut renier les progrès de la connaissance cognitive, faut-il pour autant tout prendre pour argent comptant ? Ne nous a-t-on pas présenté dans le passé des choses comme "des vérités" qui se sont révélées des années plus tard en contradiction avec des nouvelles connaissances ? Loin de moi l'idée de rejeter en bloc les progrès réalisés grâce aux recherches des interactions entre nos comportements et les impacts sur nos enfants par exemple, mais reprenons l'habitude d'écouter notre instinct et le bon sens redeviendra naturel dans nos choix. Sans nous mettre à l'abri des erreurs, ils seront vraiment les nôtres et nous ressembleront.

Sandrine Onnis

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