Le fait de se mêler des affaires des autres peut-il être légitime ? Comment déterminer les limites de ce qui est fait pour le bien d'autrui et non pour satisfaire un quelconque besoin personnel ? S'immiscer dans la vie privée d'une personne est-il tolérable ? A partir de quel moment doit-on intervenir sans risquer d'outrepasser ce fameux "droit d'ingérence" que l'on s'accorde vis à vis de certains pays mais plus encore à l'égard de nos amis ou de nos proches ?

Qu'il est difficile de déterminer le trop et le pas assez !

Sandrine Onnis